« Les polyptyques sont constitués de sorte qu’ils puissent être indépendants, en tant qu’abstraction, mais ils font partie d’un ensemble de compositions figuratives. Les portraits de femmes sont présentés de manière expressive au travers de visages rugueux et d’identités méconnaissables. Les titres : « Le rêve », » Six heures du matin », « Elle se dit la fille du pêcheur », désignent l’atmosphère spécifique de la non-appartenance. La stratégie picturale évoque un aspect inachevé ou un dévoilement incomplet de ces caractères « exotiques ». Ils n’appartiennent pas à leur environnement, ou pas tout à fait. Ces personnages n’apparaissent pas dans la ville à la lumière du jour. Ils vivent dans des moments précis et sombres, aux moments du crépuscule, aux moments de la journée où la lumière est incertaine, entre chiens et loups. («Six heures du matin»), entre le sommeil et la veille, lorsque les formes commencent tout juste à apparaître, mais là où l’obscurité ronge encore le corps (« Marin nocturne ») …
On pourrait s’attendre à l’utilisation de couleurs sombres et foncées. Mais ce n’est pas le cas, des tons intenses et presque éclatants sont mis en avant, non pas pour que les personnages apparaissent à la lumière tant méritée, mais pour les éloigner finalement et définitivement de la réalité. » D.Prnjat
Voilà ! Cela ce sont les mots des autres sur mes peintures quelles je présente à La Maison de Quartier Avalix à Saint Nazaire.
L’autre fois je vais vous écrire de le projet future dans la même vile – son grand port, ses plages sables, le horizon – où j’ai passe trois jours chez « ma tante» Fati ! Je suis retournée à Nantes avec mes chausseurs et mes poches remplis de sable fin, avec mon sac à dos plein des vieilles coquilles .
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